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Votre recherche : poèmes

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La Civilisation du phoque - <p><span style="font-size:12px">La <em>Civilisation du phoque</em> livre les secrets d’une communauté et d’un territoire fascinants au sud-est du Groenland.</span></p> <p><span style="font-size:12px">Grâce à ses nombreuses expéditions, Paul-Émile Victor a ouvert la voie vers les mondes polaires. À travers les dessins sur le vif de l’explorateur et les textes de l’anthropologue Joëlle Robert-Lamblin, découvrez la société ancestrale des Ammassalimiut, leurs moeurs, leurs coutumes, leurs légendes et leur organisation sociale ainsi que les jeux des enfants, la chasse, l’art du kayak et le rôle central du phoque. </span></p> <p><span style="font-size:12px">Partez à la rencontre de cette communauté méconnue et découvrez son évolution au contact de l’Occident et du monde moderne.</span></p>

La Civilisation du phoque

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Version papier : 35,00 €
Portrait du poète en soufi - <p>Le poète, soufi d'un nouveau genre en quête de la poésie globale de notre temps, trouve sa matière en réinventant sa patrie dans un nomadisme à l'horizon du monde. Hors tout dogme, le rêve de « verbe intégral » brise le miroir : il en restitue les éclats par le fragment qui transcrit le détail capté par le corps sismographe traversant les territoires des langues d'Orient et d'Occident. Ses échappées le conduisent vers le lointain, de la Corée aux Caraïbes, du Bengale à la côte ouest de l'Amérique ; et sur une scène plus proche, ses haltes enchaînent Tunis à Berlin, Tanger à Paris, Madrid ou Lisbonne au Caire, Alexandrie à Siwa, Jérusalem à Istanbul. Le don reçu est réorienté vers AYA, sujet d'amour, qui est l'adresse du poème. Le sens afflue par la physiologie du sentiment, de la sensation et de l'émotion. Le poème dévore d'infimes parcelles du coma cosmique. L'errant n'abdique pas.</p>

Portrait du poète en soufi

Auteurs

Version papier : 19,00 €
Qui est comme Dieu - <p>« Le poème parle de la date qui est la sienne » écrit Celan. Le psaume aussi. Le motif de la perte est au centre de ce recueil poétique. Mais de quelle perte s'agit-il ? Quelle date ? Un deuil peut-être, marqué par le temps du poème, par la lecture du psaume qu'aucune autre langue ne peut accompagner. La parole continue qui circule dans Qui est comme Dieu est adressée à Jean-Luc Nancy. Mais cette adresse renvoie à un événement que le temps de la pensée ne peut pas dire. Cette parole adressée ne dit rien d'autre que le temps de la perte, de l'expulsion, de l'errance, laquelle reste secrète. L'écriture arpente une langue qui ne décide pas de tout. Que lui arrive-t-il à la langue lorsqu'elle ne peut plus demeurer dans des objets de pensée ? Ni chose ni apparoir, c'est alors que la main qui creuse la parole fait se lever un chant plus proche du psaume que du poème.</p>

Qui est comme Dieu

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Version papier : 17,00 €
Préludes et fugues - <p>Des voix tissent leur trame mélodique, s'accompagnent, se croisent, s'entrelacent, se répondent. Chaque poème est à la fois locuteur et interlocuteur. Qui a enfreint en premier le silence ? Qui fait écho ?<br /> Ce livre, en sept cycles et un interlude, est porté par la structure du contrepoint. La répétition de mots, de phrases entières parfois, comme principe dynamique, tient de la reprise : non pas un éternel ressassement mais une progression continue à partir d'un présent (ou d'un passé) toujours effervescent.</p>

Préludes et fugues

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Version papier : 17,00 €
Je est l'autre? - <p>Dès ses débuts, la culture occidentale a été fascinée par un noyau mythique : l'existence du double, la mystérieuse présence d'un autre soi-même. Au Moyen Âge, les récits abondent où des démons tentent de séduire d'honnêtes femmes en prenant les traits de leurs maris - comme en écho à l'Amphitryon de Plaute. Doubles encore dans les mythologies irlandaise et écossaise, ou les contes nordiques. Et le xixe siècle est riche de « Doppelgänger », dont l'ombre se projette encore sur la création contemporaine. Jésus lui-même, dans la tradition gnostique, a son double en Simon de Cyrène.<br /> On ne saurait comprendre le vrai sens du double sans remonter à ses premières traces, dans l'antiquité grecque : les poèmes homériques où dieux et déesses prennent volontiers les traits d'un mortel ; la mythologie héroïque où Héraclès, le héros par excellence, et Alexandre le Grand, jusque dans ses réincarnations de la tradition arabe, sont associés à la gémellité. Le héros pour être tel aurait-t-il besoin d'un double ? C'est aussi la poésie latine, des Métamorphoses d'Ovide à l'énigmatique réplique qu'est la parva Troia dans l'Énéide, qu'interroge ici Maurizio Bettini.<br /> Qui est je ? Qui est l'autre ? Voici que surgit la question de l'identité au détour de cette exploration passionnante et vertigineuse.</p>

Je est l'autre?

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Version papier : 17,00 €
Dante : la langue et le poème - <p>Dante n'a cessé d'accompagner les travaux que Roger Dragonetti (1915-2000) a consacrés à la poésie et à la littérature médiévales et modernes tout au long de ses recherches et de son enseignement à l'Université de Genève Les neuf études ici réunies sont toutes animées par la « passion » remarque Christopher Lucken dans sa présentation D'où leur attrait immédiat à quoi ne fait pas obstacle bien au contraire le savoir historique philologique ou anthropologique de l'auteur Dragonetti ne nous guide pas seulement à travers La Divine Comédie il nous donne accès aux traités de Dante au De vulgari eloquentia au Convivio C'est qu'il s'attache en lisant à la fois l'oeuvre poétique et les traités de Dante à retracer la puissante pensée qui s'y déploie sur divers registres et qui touche au langage aux formes poétiques au rôle de la poésie et à l'énigme en-deçà de Babel de ce que put être la langue d'Adam Dragonetti fut aussi un grand lecteur de Mallarmé et de Valéry Il sait interroger les poètes les uns par les autres et chacune de ses études recèle une interrogation toujours brûlante sur l'histoire et la place mêmes de la poésie Deux inédits de Roger Dragonetti sur Dante ont été publiés avec une présentation de Christopher Lucken dans la revue Po&sie n° 103 (Belin 2003)</p>

Dante : la langue et le poème

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Version papier : 26,00 €
Le Paradis perdu de John Milton - Ce grand poème épique, écrit par Milton dans la détresse et la cécité, inspira à Chateaubriand, en 1836, une traduction intégrale et extrêmement fidèle, où se retrouve le souffle du chef-d'oeuvre. Elle est ici proposée en vis-à-vis du texte anglais, accompagnée d'une importante introduction et de très précieuses notes d'éclaircissement de Claude Mouchard.

Le Paradis perdu de John Milton

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Version papier : 11,50 €
Homère et l'Odyssée - <p>Homère : l'aède aveugle qui chante pour les princes ou le poète mendiant<br /> qui erre à travers le monde grec. L'Odyssée : un récit d'aventures si célèbre qu'il est devenu un nom commun. Au-delà des clichés<br /> qui hantent la mémoire collective, ce livre fouille au plus profond un « récit primitif » dont la complexité n'a rien à envier aux plus sophistiqués des romans modernes. Voici que s'éclairent les valeurs du monde<br /> d'Ulysse. Et l'on comprend mieux pourquoi, d'Homère à Joyce<br /> et Kazantzakis, cet être de mémoire, qui ne rêve que de retour, n'a cessé d'incarner l'humanité.</p>

Homère et l'Odyssée

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Version papier : 10,90 €
No wonder - No Wonder - mais c'est une merveille de précision, d'horlogerie lexicale, rythmique, de pièces fines, de diction prompte et posée qui dit le temps, le présent, qu'il a fait et qu'il fait - met aux prises des mensonges possibles touchant l'identité, la poésie, l'enfance - des réflexes de crainte et d'idolâtrie, ici rendus à ""leur autre chair"", celle des mots, la conscience étonnée, oui, qu'un poème se donne.

No wonder

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Version papier : 16,70 €
Trame d'hiver - Trame d'hiver résonne d'un récit de l'irracontable, entendu au coeur d'un bel été de l'enfance: tissage et tension des extrêmes où le libre choix de la poésie comme mode privilégié d'écriture prit origine. Le poème, dans le contrepoint de ses voix comme dans sa composition éclatée, en accuse ainsi réception.

Trame d'hiver

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Version papier : 17,70 €
RFEA N°147 (2016-2) - <p><strong style="font-style:normal">Xavier Kalck et Clément Oudard</strong>,<br /> Introduction<br /> <br /> <strong style="font-style:normal">Éric Athenot</strong><br /> I show that size is only development:<br /> The Poetics of Relation in "Song of Myself"<br /> <br /> <strong style="font-style:normal">Françoise Palleau-Papin</strong><br /> W.S. Merwin's The Folding Cliffs: Epic Poetry as Postcolonial Revision<br /> <br /> <strong style="font-style:normal">Xavier Kalck</strong><br /> L'effet de longueur dans un poème tardif de George Oppen<br /> <br /> <strong style="font-style:normal">Delphine Rumeau</strong><br /> Eleni Sikelianos' California Poem and the American Traditions of the Long Poem<br /> <br /> <strong style="font-style:normal">Anne Dewey</strong><br /> Gender and the 1980s Prose Poem: Rosmarie Waldrop's Curves to the Apple<br /> <br /> <strong style="font-style:normal">Hélène Aji</strong><br /> "Life" "Drafts": Towards Two Non-Dogmatic Poetic Archives<br /> <br /> <strong style="font-style:normal">Cole Swensen</strong><br /> Re-membering Time in Hejinian's My Life<br /> <br /> <strong style="font-style:normal">Luke Stewart</strong><br /> "I Quit!": The Vietnam War and the Early Antiwar Activism of Master Sergeant Donald Duncan<br /> <br /> <strong style="font-style:normal">Comptes Rendus</strong></p>

RFEA N°147 (2016-2)

Version papier : 25,00 €
Po&sie 157-158 - <p>Yousif A. Haliem,<strong> </strong><em>Le voyage de la mort, précédé d’une introduction de Catherine <em>Coquio</em></em></p> <p><em>Il est temps qu’il soit temps, par Pierre Leroux et Claude Mouchard</em></p> <p>Afrique du Sud</p> <p>Mongane Wally Serote, <em>L’histoire est l’adresse de chez soi, traduit de l’anglais <em>par Hédi Kaddour et Claude Mouchard</em></em></p> <p>Ronelda Kamfer, <em>Poèmes, traduits de l’afrikaans par Pierre-Marie Finkelstein</em></p> <p>Algérie</p> <p>Habib Tengour,<strong> </strong><em>Sept Lueurs Un Feu<em>, </em>suivi d’Un scintillement de lucioles<em>, <em>entretien <em>avec Hervé Sanson</em></em></em></em></p> <p>Bénin</p> <p>Jean-Jacques Sewano Dabla, <em>Catharsis</em></p> <p>Cameroun</p> <p>Patrice Nganang, <em>poète</em>, <em>lu par Daniel Delas</em></p> <p>Theombogü,<strong> </strong><em>Poèmes</em></p> <p>Cap Vert</p> <p>Corsino Fortes,<strong> </strong><em>Deux poèmes, traduits du portugais par Laurent Jenny</em></p> <p>Côte d’Ivoire</p> <p>Noël X. Ebony <em>présenté par Jean-Pierre Orban</em></p> <p>Véronique Tadjo, <em>Poèmes</em></p> <p>Emmanuel Toh Bi, <em>Poèmes</em></p> <p>Madagascar</p> <p>Raharimanana, <em>Tant</em></p> <p>Maroc</p> <p>Embarek Ouassat, <em>Ton souffle plane sur un cimetière de voitures</em></p> <p>Nigéria</p> <p>Christopher Okigbo, <em>Labyrinthes, poèmes traduits de l’anglais par <em>Christiane Fioupou, présentés par Sofia Dati et Christiane Fioupou</em></em></p> <p>Niyi Osundare, <em>Poèmes,</em> <em>traduits et présentés pas Cyril Vettorato</em></p> <p>République Démocratique du Congo</p> <p>Sinzo Aanza, <em>Textes</em></p> <p>République du Congo</p> <p>Dieudonné Niangouna, <em>Textes</em></p> <p>Gabriel <em>Mwènè </em>Okoundji, <em>L’atelier de Sylvie Basteau</em></p> <p>Sony Labou Tansi, <em>Deux poèmes</em></p> <p>Rwanda</p> <p>Dorcy Rugamba, <em>Textes, précédés d’une introduction de Catherine Coquio</em></p> <p>Sénégal</p> <p>Léopold Sédar Senghor – Evguéni Evtouchenko, <em>Lettres</em></p> <p>Sénégal-France</p> <p>Sylvie Kandé, <em>Deux poèmes</em></p> <p>Soudan</p> <p>Al-Saddiq Al-Raddi, <em>Poèmes, traduits par Ahmed Bouissan et Claude Mouchard</em></p> <p>Tunisie</p> <p>Abdelwahab Meddeb, <em>Carnet Dakar</em></p> <p>Amina Saïd, <em>Poèmes</em></p>

Po&sie 157-158

Version papier : 30,00 €

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