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ADH 2016-1 - <p><strong>Nommer : enjeux symboliques, sociaux et politiques</strong></p> <p> </p> <p>Cyril Grange, <em>Nommer : enjeux symboliques, sociaux et politiques</em></p> <p>Elie Haddad, <em>Noms de famille et noms de terre dans la noblesse française à l'époque moderne</em></p> <p>Vincent Cousseau, <em>Nommer l'esclave dans la Caraïbe XVII<sup>e</sup>-XVIII<sup>e</sup> siècles</em></p> <p>Cyril Grange, <em>Choix du prénom et acculturation : l'exemple de la bourgeoisie juive parisienne 1800-­1920</em></p> <p>Marie-­Pierre Arrizabalaga, <em>Le choix des prénoms des Français en Californie intérieure (1880-­1940) : étude d'un processus d'acculturation dans une approche genrée</em></p> <p>Shlomit Landman, <em>Onomastics in a Melting Pot Society with Common Roots : Israeli Jews in the Second Half of the Twentieth Century</em></p> <p>Baptiste Coulmont, <em>Des prénoms qui ont du chien : le partage des prénoms entre hommes et chiens</em><br /> <br /> <strong>Varia</strong></p> <p>Antonio Moreno­-Almárcegui, Josep Fàbregas­-Roig, Jesús J. Sánchez­-Barricarte, Margarita Gonzalvo-­Cirac, Judit Vidal­-Bonavilac, <em>Demographic Reconstruction of the Camp de Tarragona Area (Spain), 1547-­1877</em><br /> <br /> <strong>Comptes rendus</strong></p>

ADH 2016-1

Version papier : 30,00 €
Alfred Döblin - Alfred Döblin (1878-1957) se plaignait que son &oeliguvre se confondît avec Berlin Alexanderplatz catalogué un peu vite comme «roman expressionniste» et devenu au fil du temps l'arbre cachant l'immense forêt de sa production Döblin est non seulement un écrivain gigantesque un prosateur époustouflant mais aussi l'auteur d'une réflexion théorique majeure sur la fiction Se reconnaissant dans le «camp des pauvres» chassé d'Allemagne comme juif et antifasciste par les nazis converti à la fin au catholicisme il reste jusqu'au bout le dénonciateur acéré de toutes les formes d'asservissement et son &oeliguvre est une quête sans relâche de la juste définition de l'individu dans son rapport aux autres et à l'Histoire

Alfred Döblin

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Version papier : 16,70 €
Une vie au Goulag - <p>Une vie au goulag, récit autobiographique de Dimitri Vitkovski, est un document exceptionnel, jamais publié en France, cité pourtant par Alexandre Soljenytsine en ouverture de L'Archipel du Goulag.<br /> Écrit dans les années soixante, ce récit est une plongée dans l'univers concentrationnaire de la Russie soviétique. Il décrit, sur près de trente ans, une vie de captivité entrecoupée de très courts répits de liberté. Dimitri Vitkovski est pour la première fois arrêté en 1926, deux ans après la mort de Lénine. Il a vingt-cinq ans. Ce n'est qu'en 1954 qu'il sera autorisé à rejoindre enfin les siens à Moscou.<br /> Déportation dans les profondeurs des forêts sibériennes, travail de bagnard dans les îles Solovki, tortures, interrogatoires, peur et survie : Dimitri Vitkovski, ingénieur devenu zek, accusé sans preuve mais lourdement condamné, décrit le monde des persécuteurs et des prisonniers, les vagues de terreur, le monde du camp perdu au bout du monde, face à la nature belle et hostile. Un document pionnier, un texte poignant.<br /> <br /> Préface de Nicolas Werth, historien internationalement reconnu de l'URSS stalinienne, et avant-propos d'Anna Pilkington, fille de Dimitri Vitkovski.</p>

Une vie au Goulag

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Version papier : 16,00 €
Raymond Carver - Raymond Carver (1938-1988) campe des Américains à peine moyens aux vies ordinaires aux destins ratés Mais l'extrême simplicité de son écriture dérange plus qu'elle ne rassure Elle fascine Dans ses nouvelles ellipses et blancs répétitions obsessionnelles transforment monde et langage le récit dérive frôle le fantastique tente de cerner un mystère qui toujours échappe Carver ne pratique pas un minimalisme convenu et vague explorant le banal il ouvre des perspectives insolites hyperréalistes dans la vie de personnages au présent dévasté

Raymond Carver

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Version papier : 9,40 €
Journal d'un prisonnier de guerre - <p>« Me suis-je endormi ou suis-je tombé dans une sorte d'inconscience ce n'est pas clair Je repris progressivement conscience en sentant des coups répétés dans mes côtes Puis à l'instant où je réalisais que cette série de coups m'était portée par des chaussures je fus saisi fermement par le bras et je repris complètement mes esprits Un soldat américain me tenait le bras droit un autre braquait sur moi le canon de son fusil " Ne bouge pas tu es mon prisonnier ! " » Ainsi ôoka Shôhei soldat japonais mourant fut-il capturé le 25 janvier 1945 par deux soldats américains dans l'île de Mindoro Des récits et des descriptions d'une extrême précision : voilà d'abord ce que nous offre ce Journal d'un prisonnier de guerre qui évoque l'effondrement des troupes japonaises dans la guerre des Philippines puis la vie de Japonais détenus par les Américains dans un camp sur l'île de Leyte Mais le témoignage d'ôoka est aussi parmi tous ceux qui sont apparus au vingtième siècle l'un des plus puissamment méditatifs Il unit aux lucides observations d'un survivant la générosité et la profondeur de pensée d'un immense écrivain</p>

Journal d'un prisonnier de guerre

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Version papier : 27,10 €
Le suffrage universel inachevé - La France est-elle une véritable démocratie ? A-t-elle toujours eu les présidents que désiraient ses citoyens ? Pourquoi les Etats-Unis reconduisent-ils un mode de scrutin qui s'est traduit, à trois reprises déjà, par l'élection d'un président avec une minorité de voix ?<br /> Le suffrage universel seul ne suffit pas à garantir la démocratie : encore faut-il qu'il soit réellement représentatif. Or les principes d'égalité sont souvent bafoués, quand ce ne sont pas les lois elles-mêmes. Ainsi, à l'Assemblée nationale, certains Français pèsent 5,5 fois plus que d'autres. Aux Etats-Unis, des découpages électoraux sont conçus pour favoriser le camp au pouvoir, avec une efficacité redoutable.<br /> Dans ce livre, Michel Balinski porte un regard critique sur les règles du découpage électoral et de la répartition des élus. Il n'existe pas de méthode de vote parfaite, explique-t-il. Mais il en est de meilleures que d'autres. Hélas, elles sont rarement appliquées. "Ce n'est pas l'impossible qui désespère, insiste l'auteur, c'est le possible non réalisé".

Le suffrage universel inachevé

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Version papier : 21,35 €
Po&sie 133 - <p><strong>Avec Claude Lefort<br /> Adieu à Luciano Erba</strong><br /> <br /> Martine Broda,<em> Lettre d'amour, poèmes présentés par Esther Tellermann</em><br />  </p> <p><strong><em>PO&SIE</em> ET LES RROMS</strong></p> <p>Pierre Chopinaud, <em> Des caravanes sans roues</em></p> <p>Claude Mouchard,<em> Vestiges d'un camp ? Montreuil-Bellay</em><br /> <br /> Annette Von Droste-Hülshoff,<em> Songe d'un jour d'été, traduit de l'allemand par Patrick Suter</em></p> <p>Joachim Sartorius,<em> Hôtel des Étrangers</em></p> <p>E. C. Belli, <em>Trois poèmes</em><br /> <br /> Gerard Manley Hopkins,<em> À quoi sert la beauté mortelle ?, traduit de l'anglais par Fabien Vasseur</em></p> <p>Bertolt Brecht,<em> La femme qui n'est plus, traduit de l'allemand et présenté par Fernand Cambon</em><br /> <br /> Erich Auerbach,<em> Cinq lettres à Walter Benjamin, traduit de l'allemand par Robert Kahn</em></p> <p>Carlo Ginszburg,<em> Auerbach et Dante - quelques réflexions, traduit de l'italien par Martin Rueff</em></p> <p>Tiphaine Samoyault,<em> Le détail, l'unique : une pensée de la reconnaissance</em></p> <p>Mario Mancini,<em> La défaite d'Alypius - Auerbach à Weimar, traduit de l'italien par Martin Rueff</em><br /> <br /> Pietro Pucci,<em> Le ventre d'Ulysse, traduit de l'italien par Jeanine Routier-Pucci</em><br /> <br /> Giorgio Agamben,<em> Pâque en Égypte, traduit de l'italien par Martin Rueff</em></p>

Po&sie 133

Version papier : 20,30 €
La peur du " rouge " en France - La peur sociale provoque les «effrois» les émeutes et les «folles commotions» des populations révoltées dès le Moyen âge Elle est la peur de ceux qui sapent les colonnes de la société comme les partageux du premier XIXe siècle avides de redistribution des richesses et de substitution du socialisme au capitalisme Aux environs de 1840 en effet la Révolution industrielle prend son essor un prolétariat en naît et avec lui se nouent les tensions sociales liées à toute croissance économique brutale La politique aime les couleurs mais le bourgeois vomit le «rouge» fier de son travail Après la phobie des attentats anarchistes de la fin du XIXe siècle l'homme du XXe siècle a eu bien davantage de craintes politiques et sociales d'abord multipliées par les affiches du «moujik hirsute» de 1919 qui concrétise la hantise des «rouges» version bolcheviks cette fois-ci Il a connu – pas forcément éprouvé – la hantise de la Guerre froide du «camp communiste» de l'Armée rouge des «gauchistes» et des «étés chauds»&#133 Qui a réellement «profité» de cette peur ? Les «rouges» ont-ils été manipulés ? Et la «cible» n'a-t-elle pas totalement changé avec la drogue les banlieues «à risque» le terrorisme ?

La peur du " rouge " en France

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Version papier : 23,50 €
Po&sie 142 - <p>À Jacques Dupin <em>par Michel Deguy</em></p> <p>Antoine Raybaud, <em>Jacques Dupin : « l'acte d'écrire » de « Moraines » à « Fragmes »</em><br /> <br /> À Anne-Marie Albiach <em>par Jean-Marie Gleize</em><br /> <br /> Jean Métellus, <em>Rhapsodie pour Guacanagaric</em></p> <p>Armelle Cloarec, <em>Sauve-toi</em></p> <p>Hélène Nancy, <em>Tombée de toi</em><br /> <br /> Karl Krolow, <em>Gravé dans le cuivre. Observations, extraits traduits par Anne Gauzé</em></p> <p>Sorin Màrculescu, <em>Poèmes, traduits et présentés par Dumitru Tsepeneag</em></p> <p>Trân Dân, <em>Du Journal intime au Carnet ultime, traduit du vietnamien par Doan Cam Thi</em><br /> <br /> Gertrud Kolmar, <em>Portrait de femme, traduit et présenté par Fernand Cambon</em></p> <p>Philip Mechanicus, <em>Journal. Camp de Westerbork 28 mai 1943-28 février 1944, extraits traduits du néerlandais par Laetitia Decourt, Hinde Kaddour et Gaby Velthuys</em></p> <p>Wladyslaw Szlengel, <em>Ce que j'ai lu aux morts, traduit du polonais par Jean-Yves Potel, Yvette Métral, Alex Dayet et Agnieszka Grudzinska</em></p> <p>Berthe Burko-Falcman,  <em>Les sanglots secs</em><br /> <br /> Paul Audi, <em>Contre le marbre vainement...</em></p> <p>Carlo Ginzburg, <em>De l'artiste considéré comme faux-monnayeur, traduit de l'anglais et présenté par Martin Rueff</em></p> <p>Walter Siti, <em>Lettre à Pasolini, traduite de l'italien et présentée par Martine Segonds-Bauer</em><br /> <br /> À Jean-Pierre Moussaron <em>par Michel Deguy et Bernard Vouilloux</em></p> <p>Jean-Pierre Moussaron, <em>Itinéraires (extraits)</em></p>

Po&sie 142

Version papier : 20,00 €
Une ville en ses réseaux : Nuremberg à la fin du Moyen Age - <p>De la « ville enkystée dans un monde féodal » au « camp retranché de la civilsation » l'image de la ville médiévale seule envers et contre tous a la vie dure Pourtant hier comme aujourd'hui les villes ne vivaient pas isolées Animé d'une telle certitude ce livre sonde les relations de Nuremberg la « capitale invisible » de l'Empire à la fin du Moyen âge Dans une Allemagne qui s'urbanisait à une rythme effréné la hiérarchie des villes et les équilibres urbains se trouvèrent soudain bouleversés A tous les rangs de l'armature urbaine il fallut affirmer ou défendre sa place Nuremberg sut évincer ses concurrentes dans une compétition d'honneur et d'influence On essaya malgré tout entre villes d'instaurer des réseaux de solidarité et d'entraide Nuremberg et ses voisines apprirent à s'unir pour se faire entendre ou pour sauvegarder la paix La définition et la défense d'intérêts communs furent tout à la fois l'apprentissage de la concertation et des conflits Il arrivait cependant que l'intérêt général ne suffise plus à maintenir le fragile édifice des grandes alliances Là s'arrête l'historiographie traditionnelle des ligues urbaines mais cet ouvrage invite à aller au-delà Aux institutions défuntes survécurent des réseaux de villes informels Par le courrier et les hommes échangés les villes nouèrent des affinités électives Une culture politique urbaine émergea de leurs espaces de coopération A travers les siècles ce livre est une invitation à faire des réseaux de villes un objet d'histoire</p>

Une ville en ses réseaux : Nuremberg à la fin du Moyen Age

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Version papier : 30,95 €

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